
Alès vend mon roman de terroir
Ce qu’il y a de formidable dans la littérature, c’est qu’elle se partage. De l’écrivain au libraire, du libraire au lecteur et vice-versa du lecteur au libraire et à l’auteur.
Ce qu’il y a de formidable dans la littérature, c’est qu’elle se partage. De l’écrivain au libraire, du libraire au lecteur et vice-versa du lecteur au libraire et à l’auteur.
Un peuple est exterminé et on se tait, oui. 1 million d’Ouïgours au moins. Parce qu’ils ne sont pas « Hans » (= Chinois), parce qu’ils ont leur langue, leur religion, leur culture. Un génocide comme celui commis jadis contre les juifs. Et nous nous taisons.
vendredi 12 mars vers 16h, je participerai à une émission de Tv; vendredi 19 mars à 19H15, je contribuerai à animer une conférence d’une demi-heure auprès d’un aimable club d’amoureux du Pic Saint Loup qu’intéresse mon roman de terroir « Les étrangers du Val de Londres ».
Et Judith raconta comment nous étions venus ici en Amérique, comment elle m’avait poursuivi, dévalisé, et comment elle avait voulu m’assassiner et comment nous étions enfin disposés à nous séparer en paix.
La Fontaine, tu es pris en défaut!
Belle histoire locale, roman de terroir, retour aux sources, 1200 ans d’histoire, le tout enrichi d’un roman contemporain mâtiné d’un voyage exotique.. en 400 pages pour seulement 16€
j’ai du mal à lire un livre vide de portée, d’intrigues, d’aventures. Les états d’âme d’un personnage de roman ne suffisent pas à me passionner.
« En suivant les pas d’un jeune héros qui doit résoudre de multiples énigmes sur son parcours, le lecteur est conduit à croiser nombre de figures locales : le réboussié, le bavard, le chasseur forcené, l’épicier chantant des chanson obscènes devant ses clientes… »